Rio en folie...
Cauchemar! Ici, le
chaos règne sur la circulation. Les chauffeurs conduisent mal et vite. En Russie
c'était quelque chose, toute une expérience à vivre mais ici ce n'est guère
mieux. Ca doit surement être un pré-requis pour devenir la ville hôte des JO. La
plupart du temps, les véhicules sont souvent bondés et c'est à peine si on
réussie à se frayer un chemin jusqu'à la sortie. Malheur si tu n'est pas
capable de sortir car la prochaine station du BRT est assez loin. Ca m'est
arrivée de faire 4 aller-retour dans un même trajet sans être capable de
sortir. Soit qu'il y avait trop de monde ou encore soit que la porte du bus
était défectueuse et ne s'ouvrait pas. ce genre d'incident c'est juste à moi
que ca arrive et je me retrouve, plus souvent qu'autrement à rire de moi-même.
En termes
d'infrastructures, l'amélioration des transports est considérée comme le plus
grand "héritage" des JO pour Rio.
Depuis le 1er août, le réseau de transports publics de Rio est efficace: BRT ( express bus), la nouvelle ligne de Métro de
la ligne 4 qui relie les 16 km de barra de Tijuica à Ipanema est ouverte où
l'on peut transférer par la ligne 1 qui nous amène jusqu'à la gare centrale de
Rio
Rajoutez à cela les klaxons des
voitures, des motocyclettes qui font des bip bip
interminables pour se faufiler entres les voitures à toute allure, même sur un
deux voie, qui en devient 3 ou 4, tout dépend du nombre de moto. Les cris, les
gens qui crient pour se faire entendre dans les autobus pour pouvoir se frayer
un chemin pour sortir en se poussant les uns aux autres. Ben, ben, ben du
monde, noir de monde ;-), trop de monde. On ajoute à cela, les policiers
qui s'amuse à siffler, bien souvent pour rien pour diriger les piétons, la
circulation, pour embêter un motocycliste qui s'invente une voie de circulation
et j'en passe.
Sur ce, j'm'en va à
la plage écoutez le bruit des vagues et prendre un Capinrhina et rêver
discrètement au calme de la Côte-Nord.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire